Né à Paris en 1953, Gérard Rousselle s’intéresse très tôt à l’image sous toutes ses formes. A 14 ans, il s’offre son premier appareil réflex, un Minolta STR 101… Il suit de loin les cours de l’école ABC pour acquérir les bases de la technique photographique. A cette époque, l’appareil « greffé » au bout du bras, , il « shoote » tout ce qui bouge. Il fréquente assidûment les grands concerts des années 70 tels que Pink Floyd, les Who, Led Zeppelin, etc…
Admirateur de Doisneau, Isis, Cartier Bresson, mais surtout Jean Loup Sieff, il arpente des rues en quête permanente de « scènes » à fixer sur sa pellicule.
Au fil des années, les contraintes familiales et professionnelles lui ont imposé un rythme moins soutenu. Avec l’arrivée du numérique, la rechute est « terrible » et il est désormais extrêmement rare de croiser cet infatigable chasseur d’image sans un appareil photo autour du cou.
Il se définit lui-même comme un voyeur, au sens noble du terme, plutôt que comme un photographe. Dans la série exposée à
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